|
|
Pages : [01] | ||
Auteur | Message | Edit |
![]() Le 22/06/2006 à 10:25:36 | quand s'elevait dans l'ombre une silhouette sombre gisant dans les decombres dans une total penombre lui ayant vu carthage detruite par la rage dans un terrible carnage ciselé par l'orage il n'avait plus d'espoir il voyait tout en noir couleur du desespoir il appris de l'histoire que l'homme et ses envies detruirait toutes vies excusez moi pour les fautes d'orthographe poure la poesie j'ai fait de mon mieux je suis pas en terminal | |
![]() Le 22/06/2006 à 23:37:53 | tu mélange des sujets differents, je suis pas sur que tu emploies bien chaques mots, et je ne saisis pas le theme mais tu as déja l'envie, c'est bien | |
![]() Le 23/06/2006 à 10:53:18 | le theme c'est la folie de l'homme a travers les guerres je parle d'un homme ayant vue la guerre. et n'ayant plus d'espoir j'ai fait un faux sonnet car pas en alexandrin | |
![]() Le 25/11/2009 à 23:26:47 | La grotte, Plusieur mois, semaine se sont écoulé, Les pas de la prétresse se sont succédé Vers la montagne dans la neige éclatante. Elle a retrouvé la caverne béante. Elle était toujours là silencieuse, Vestibule sur le perron de la faucheuse Waztierzholt avanca dévotte, pieuse. Entre les deux stalactites hideuses Gardiennes de sa future renaissance Après plusieurs semaine de silence Elle se sentis prète pour le rituel Télurique à l'union sacramentel Renaissance, J'ai pris la terre, la glaise, à main nue. Et j'ai creusé - rage - jusqu'à ma tombe. Pour épitaphe j'ai gravé "A trop vécus". Coucher au fond j'ai réclamé l'hécatombe. Le sol m'a obéi et enseveli. ENFIN, le cri du silence pour agonie. Avec avidité j'ai mangé la terre. Et me suis remplis l'estomac comme un ver. Les yeux clos je me sentais quartz, silice. A la porte des morts mon âme fut bannie. Il me fallut renaître comme un zombie. Je m'extirpais du sol; que la terre vomisse : Qu'elle me sorte de cette gangue fécale. Accouché d'un cimetière par syncope D'une terre noire, matrice, immonde salope. Je suis une mort vivante née d'une pierre tombale. Je serais alors écœurant, titubant. Comme les autres, dans la foule des mort vivant. Retour, Sortie des entrailles de mere Terre Extirpé de l'ombre vers l'air. Elle titubait, elle la prétresse L'elue de l'enfer, sa maitresse N'était qu'une ombre boueuse Ses pas poussait la neige poudreuse Devant elle, vers son horizon. Une image, un souvenir, un dragon. Fruuer manquait. Intolérable ! Sur le chemin infatiguable Elle reprenait raison et vie "Encor un pas et c'est fini" Se repettait-elle à l'infini La montagne, la vallé, le pré, Les rochers, les arbres, les blés, LA maison ! Elle s'évanouit (pour ceux de la guilde il reconnaitrons un texte que j'avais poster dans le topic "[RP] La Maison des Membres de la Guilde" ) | |
![]() Le 20/12/2009 à 23:11:51 | une plume doré tomba délicatement sur le sol et les fleurs de lys s'envolent par le vent un être inconnu s'approcha du de ma fiole alors que moi j'entendit un bourdonnement. je marche alors vers la lumiere de la liberté et mon compagnon de vie est tres sermonné en touchant cette lueur lumineuse je sens alors l'approche d'une faucheuse. ps:je continue plus tard | |
![]() Le 26/06/2010 à 07:05:43 | L'EFFRONTE Stupeur Un coup de sifflet ! Lancé au chien et sa candeur Se retourner : faire face au roquet Pour affronter Pour se mesurer Toiser et lutter D'un regard où l'éclair passe Un ange passe ... Devait-elle courber la tête, fuir sous les regards ? Se laisser poursuivre par leur viol oculaire "Tu les aime mes fesses ? Connard !" Elle les affronta en le levant d'un sourire fier Il trônait au milieu comme un potentat. Sur de sa grandeur, cerné par l'index et l'annuaire. Le Médium dressé en signe d'affront ou d'attentat seul le pouce sentait avec l'auriculaire L'affront et l'insulte de ce doigt dressé, L'outragé visait cet appendice d'un air consterné. Elle poursuivit. Les laissant, Contrit, Atterré, sur le pavé Luisant. | |
Pages : [01] |
Se connecter |
Stats | ||
|