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 Le 10/10/2009 à 17:10:12 | Vraiment magnifique Wazt ! On s'imagine vraiment les images et tout; j'aime beaucoup, c'est vraiment vraiment très beau. ça me fait penser à la bataille contre Lolth. tu devrais la mettre dans le forum de la guilde ^^  . sérieux ^^ | |
 Le 11/10/2009 à 21:26:28 | Un de mes plus beau poéme est sans doute l'hymne que j'ai écrit chez les chaos angels. C'est mon préféré - Chaos angels - Ecoute et instruis-toi, fille et fils du chaos, et montre-nous tes choix. Et s'ils résonnent en échos, tu recevras l'appel des Chaos Angels. C'est sur les montagnes éthérées, glacis de givre, posée sur les nuages. Que cape au vent, canne dressé le mage, défit les éléments de la tempête déchainée. Un grimoire emplis de savoir ancestral, pages ouverts semble tenir le vieillard, main crispée sur le livre, le regard hagard, il appel Shevarash, l'archer noir, prince du mal. Le démon est appelé. Le livre rejeté. La fin est proche. Le son de la cloche, Résonne du glas. Aube et fracas. Filles et fils du chaos, fait résonner l'échos, du terrible appel Des Chaos Angels. Le nadir est passé et l'astre descend, sur une plaine où les armes n'ont laissées que le sang. Des chevaux éventrés, des dragon égorgés. Cavaliers et dragonniers sont là exposés. Les coeurs béant lardés par les becs des corbeaux. Crevés par la nuée qui s'emplis le jabot. Shevarash, l'archer noir a rangé son arc long. "Les forces de Lolth la cruel ne sont plus partons !" Leurs forces sont tapies, en ombre-terre : soumis. Lolth tisse sa toile. C'est sous sa noire étoile, qu'oeuvre l'ennemie, à la mort d'Atsami. Filles et fils du chaos, fait résonner l'échos, du terrible appel Des Chaos Angels. | |
 Le 05/02/2010 à 16:56:05 | *nostalgique* Très bel hommage wazt <3 L'Hiver J’entends au loin l’appel du vent L’hiver arrive avec son froid mordant Dans les plaines, dans les arbres un instant Histoire qui vole histoire qui vient en tremblant Arrive ensuite la neige et son charme saisissant La nature se recouvre d’un magnifique manteau blanc La beauté et le silence des lieux en deviennent enivrants Car le paysage se transforme et se veut ensorcelant Comme le temps s’endort en cette saison Notre âme et notre cœur restent froids et distants Attendant dès le début la renaissance du printemps La chaleur qui nous berce de ses doigts envoûtant Le jour est plus court, le soir et la nuit de plus en plus longs Le monde lui-même semble ne plus tourner rond Entre le froid, la bise, qui se font entendre par le râle incessant De cette saison qui à tant de magie à cacher, tant d’enchantements | |
Le 06/06/2010 à 13:54:41 | LES PLAINES D'AIRAIN Sur les plaine de l'airain, Se dévoile le champ de guerre Ou la brume fait luire la pierre La ou coule le chagrin. Dès qu'le son du cors résonne On entamme une course folle Face au ligne qui s'affolle Les coups de canon qui tonne Refrain Cité, des anges qui rève Une âme monte au ciel C'est elle qui s'élève Des champs de mort pestilentiel La mort fais son chemin Sous l'coups des bélériands L'ennemie boit son venin Et se répand dans tous ses rangs Dans le ciel blaffard Les archers lancent leurs flèches Pour ouvrir une large brèche Qui bientôt forme un boulevard Ou les cavalier s'y engouffrent Pour tailler de leurs épée Le premier rang des lancier Qui s'écroule dans un soufle Refrain Les cadavres s'amoncellant Sur le sol des plaines d'airain Ils le couvrent d'un voile carmin En homage aux bélériands Ses démons béliqueux Goutent le repos du guerrier Piétinant d'un pas le charnier Le bélériand victorieux Refrain C'est inspiré d'une chanson de marin http://balestdm.free.fr/Musiques/Opium.mp3 | |
 Le 06/06/2010 à 14:53:36 | Super !  | |
Le 20/06/2010 à 09:38:58 | Lacérer l'acier La main à la forge tord le fer en un effroyable bouquet de feu qui tel un soc en de la terre meuble écarte les chairs stigmatisées et pénètre douloureusement dans l’indéchiffrable et insondable profondeur de l’être ainsi écartelé Au fond de l’âtre en un visage noir de suie deux yeux brillent d’une insoutenable clarté celle qui vrille ton âme et te dérobe nu à tes fantasmes inavouables de possession et de pouvoir blesser et rire en te lacérant le visage de tes ongles décharnés La main au feu plonge au plus profond des entrailles de la terre par les interstices de ton néant et en ramène couverte de lave l’image enfin révélée des arcanes de l’océan primitif où nulle vie n’a jamais vue le jour Le bruit sourd du marteau qui tombe inlassable en une étreinte répétée sur le fer qui crie se tord et meurt pour mieux revivre lame rythme le jour qui marche au pas de l’oie vers la nuit qui s’avance pour mieux revivre lune La lune est là la forge enfin se tait qui laisse alors le cri du fer tordu emplir l’espace d’une plainte chaque nuit répétée La plainte du fer qu’on tue | |
 Le 17/03/2011 à 13:27:41 | A ma fille Tu n'as pas grandi dans mes entrailles Pourtant, tu es bien ma petite fille. Aujourd'hui, je me demande si je serais de taille A être ta maman, à fonder notre famille. Je t'ai arrachée des griffes d'un sauvage Et je jure sur ma vie de toujours te protéger. Tu ne connaîtras jamais plus la violence qui ravage, Je te promets que tu seras aimée et choyée. Tu es l'harmonie de mes chansons, de mes ballades. Tu es ma petite muse, ma créatrice de créations. Tu es le grand soleil de ma petite vie fade. Tu es l'unique objet de toute ma passion. Aujourd'hui, devant Unyviel, je fais le serment De t'élever et de te chérir comme le fruit de ma chair. Je jure de faire de toi la plus aimée des enfants Et demain sera toujours plus beau qu'hier. La déesse m'a fait un fabuleux don Et cette petite merveille, c'est toi. Prends ma main et alors nous formerons La plus belle et heureuse famille qui soit . | |
Le 01/04/2011 à 23:14:51 | Doudou, ma fée "T'y gaty you biou (*)". Tous n'est que mot doux, Pendue à ton cou. Un bijoux de fée, Pour une poupée Aux joues rosées. "T'y gaty you biou, mamie". quel doux babillage, chérie ! Un perle de rosée sur ton fruit. On ne murmure que le mot amour, Celui qui rime avec toujours, Au-delà de la nuit jusqu'au jour. "T'y gaty you biou, doudou". C'est comme un nounours, Qu'on couvre de mamour. Une phrase en échos, Un gros gateau, En choco. * : Cherchez pas de traduction, il n'en existe pas c'est une phrase que je dis à ma petite chérie, mon ange d'amour. Mais je suis sur que vous en avez compris le sens ^^ | |
 Le 06/04/2011 à 02:34:22 | Quelques poémes... O Vénus, de toutes les femmes Tu es la plus belle et la plus sainte. Elève aussi haut encore mon âme Et que jamais elle ne puisse être défaite. Pour un nom est plus grand que tout, Par une piété est plus solide que l’airain. Je t’offre cette misérable prière de boue Afin que là-haut elle devienne or et paix. _____ Ô ma petite hirondelle Chante toujours et encore Pour moi de tes belles Chansons d’amour et d’or _____ Les prétendants à une vie Plus longue et plus belle, Sans aucun répit, te fuient, Te prient, pis même t’appellent. Quel gain retirer de toi ? Te fuir ne sert guère à rien, De même que se rendre à toi. Es-tu un mal ou un bien ? Tu répugnes les rois vaniteux, Tu ris des âmes orgueilleuses, Tu séduis les tristes amoureux, Tu inspires les paroles fangeuses. C’est bien en criant ton nom Que les héros meurent, Que les règnes se font Et se défont dans les pleurs | |
 Vifi Le 08/05/2011 à 18:22:06 | S'est poèmes sont assez petit donc je vais en mettre plusieurs (au passage, la plupart de mes poème avec rimes ne sont pas très jolies donc il y en a peut): Brillant dans le soir, Telle une étoile lointaine, Dragon noir, Vas rejoindre le Père éternel. Œil de feux, Œil de lumière, Toison de fer, Gueule des enfers, Dragon. Dans l’aube naissante, Un jet de flamme, Vien réveiller le soleil. Le dragon est là. Petit dragaunau, Près d’un volcan, Prend sont envole, Dans le ciel rayonnant, Vole vers le soleil. | |
 Le 06/06/2011 à 03:35:00 | Petit cadeau d'un ancien ^^ Pour toi, je me ferais musicien, un très grand compositeur, J’inventerais de belles symphonie pour pénétrer ton cœur, Jouer de douces mélodies pour t’offrir des moments d’évasion, Mais ne les jouer que pour toi, pour te faire trembler d’émotion… Pour toi, je me ferais poète, tu auras ma plume à ton service, Je t’écrirais de beaux vers, issus d’un bel amour sans artifices, Te montrer le pouvoir des mots, te les murmurer dès le réveil, Te prouver ce que tu es à mes yeux, toi, ma huitième merveille… Pour toi, je me ferais peintre, comme Michel-Ange ou De Vinci, Je t’offrirais un monde plein de couleur, ma palette est infinie, Dessiner des paysages magnifiques où nulle n’est jamais allé, Les visiter avec toi, pouvoir passer un peu de temps à tes côtés… Pour toi, je me ferais tout ça, mais je me serais surtout amoureux, Je te serrerais dans mes bras, me perdrais sans cesse dans tes yeux, Te contempler du matin au soir, sans jamais pour voir me lasser, T’offrir tout mon amour, ainsi que le monopole de mes pensées… | |
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